DROITS DE L'HOMME
LECLERC / ENTRE PHILANTROPIE ET RACISME
Michel-Edouard Leclerc a gagné plus d’argent après certaines politiques RSE adoptées par son entreprise. Engagés dans la cause pour Alzheimer, le milliardaire a pu accomplir son destin et fondre un empire. Néanmoins, ce qui lui échappe, certains de ses directeurs comme à Nancy pratiquent encore les menaces de morts contre les journalistes qui ont voulus mettre à nu le racisme au sein même de l’hypermarché. Pour eux, les menaces de morts contre les combattants de la plume et les défenseurs des droits-humains, ne sont pas des délits mais un devoir. Malgré les articles et les lettres à répétition qui se sont adressées ces derniers mois au siège central de Leclerc, il apparaît que les prédateurs des droits humains jouissent d'un soutien indéfectible de la direction, à moins que le PDG n’a eu aucun écho des évènements qui s’exercent parmi son personnel? Cette rocambolesque affaire prend une dimension ignominieuse lorsque le journaliste qui menait l’enquête au Centre Leclerc des 2 rive à Nancy est aprés avoir publier le premier article, deux jours après il est menacé de mort chez lui par des individus inconnus. Une plainte a été déposée contre la gérante du Bar-Restaurant de Leclerc et le journaliste a du quitter son domicile. Autre fait scandaleux, les caméras vidéos où le journaliste a était agressé ont été effacés par les deux directeurs de Nancy ; ce qui nous a obligés de saisir le procureur de la République. Aujourd’hui, alors que la poussière retombe et que la direction de Leclerc semble avoir réussi à étouffer le délit dans l’œuf qui a déferlé la direction, nous nous sommes contentés de saisir une seconde fois le procureur de la Reduplique afin de s’assurer que la première impliquée dans cette menace de mort était bien entendue par la police en attendant le jugement.
L’irascibilité générale de la liberté de la presse à l’encontre de cette situation alarmante s’explique aussi, de manière concomitante, par la faute grave que les directeurs de Nancy ont opérer, en appuyant la discrétion vis-à-vis de la direction tout en protégeant l’une de leurs collègues, et pire encore en négligeant la menace de mort qui a cibler le journaliste et le délit qui en découle
MOHAMMED CHERIF BOUHOUYA
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