20 années
d’exil en France et d’opposition acharné contre Bouteflika, ses oligarchiques, ses ambassadeurs et son clan pestilentiel, les
rats de garde de l’ancien régime
sévissent encore dans l’ombre en s’attaquant aux journalistes et leurs
enfants. Monsieur Gaid Salah, mon fils qui vit en Algérie, vient d’être victime
d’une vengeance ciblée d’un proche de l’ancien général (Abdelmalek Guenaizia)
et qui exerce toujours au sein de la sûreté de la police de la wilaya de Souk
Ahras. A travers cette lettre, je salue
les compétences du procureur général, ses adjoints et le président de la cour
pour leur transparence et leur honnêteté. Néanmoins, plusieurs lettres ont
étaient adressés aux ministres de l’intérieure et le DGSN, mais sans suite. Sachant
que au sein de la sûreté de police de la wilaya de Souk-Ahras, mes lettres (destinées
au wali et au chef de sûreté) ont étaient jeter dans les poubelles de l’administration.
Le gouvernement actuel a tenté de réparer la dictature de Bouteflika et de son
clan, mais non de trouver des solutions pour les journalistes opposants qui
vivent en exil. Toutefois, je vous demande humblement de mettre fin aux dérives
du Wali, du chef de sûreté de surtout d’introduire en justice cet énergumène
qui a transgresser les lois pour la vengeance de son cousin le feu général Abdelmalek
Guenaizia,
MOHAMMED
CHERIF BOUHOUYA
Fondateur et directeur général du (lelibre-lorraine), analystes dans les questions géopolitiques, géostratégiques et les droits de l'homme ( Nations- Unis) Président de l'association des journalistes Algériens en lorraine et maître conférencier dans les analyses géopolitiques et géostratégiques internationales. Pays de publication France.
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