Le 3 Mai, la Journée de la Liberté de la presse. Écrite en lettre d’or sous d’autres cieux…, c'est aussi l’heure du bilan annuel des atteintes contre les hommes et femmes de plume qui se battent pour faire éclater la vérité de nos maux sociaux et déviances humaines, de par le monde et particulièrement en Algérie. Depuis l’ouverture du champ médiatique, beaucoup d’épis furent fauchés durant la tragédie rouge, et la moisson de la mort fut des plus ravageuses sur la terre libre de notre pays pour voir renaître demain, une presse indépendante, fière de sa mission mais consciente de sa responsabilité morale envers son lectorat et la société dans son ensemble. Alors quand les lignes se transforment en barreaux privant de liberté des journalistes, l'heure est venue de se poser des questions d’une importance capitale pour le devenir du projet de développement humain commun dans notre pays.
LA FRANCE, LES DROITS DE L'HOMME ET LA LIBERTÉ DE LA PRESSE
Selon l’ONU, le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse lors de son assemblée en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. La date du 3 mai permet d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse. Dans des dizaines de pays à travers le monde, des publications sont censurées, condamnées, suspendues ou tout simplement n’ont plus le droit de paraître, alors que des journalistes, des rédacteurs en chef et des éditeurs sont harcelés, attaqués, détenus ou même tués. La Journée de la liberté de la presse permet de célébrer ses principes fondamentaux à travers le monde, de défendre l’indépendance des médias et de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession. Et l’objectif de ce genre d’événement est entre autre, d’attirer l’attention sur la difficulté que représente l’exercice du métier de journalisme au quotidien. Meme en France, les journalistes Algériens sont malmenés par les pouvoirs publics et la justice.
Ses combattants de la plume qui se sont exilés vers le pays des droits de l'homme afin de continuer leurs combat,malheureusement, ils se trouvent pris en étaux entre certains responsables et l'acharnement de la justice.Bien entendu, l'Algérie ne réagit pas, pour l'unique raison qu'elle a enterrer ses journalistes exiles vivants dans les abysses de l'histoire. A travers cet article, je demande au ministre de la justice Français d'agir afin d'éclaircir les abus et les injustices commises contre ses journalistes Algériens qui ont continuer de se battre en France.
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