dimanche 16 août 2015

ALGERIE : LES LOBBYISTES SAPENT L’IDENTITEE NATIONALE


La construction de l’Algérie en tant que nation a reposé sur trois piliers : sa langue, sa religion et sa légitimité révolutionnaire. L’histoire de l’Algérie s’est forgée même avant l’indépendance, les lobbyistes de l’intérieure et de l’extérieure cherchent à travers une ministre atteinte de myopie intellectuelle a sapée définitivement la langue littéraire au détriment du dialectale et la langue Française au profit de l’Anglais. Mais quand il s’agit de toucher à l’identité nationale cela mérite réflexion notamment pour les générations futurs.





L’enseignement de la langue arabe, de ses origines, de sa structure, de sa vitalité littéraire, et le parcours de son histoire depuis des siècles sont donc naturellement des passions Algériens, car il s’agit d’un ciment collectif pour « le passé, le présent e le futur ». On ne peut donc aborder ces sujets qu’avec un sens de la précaution et de l’unité à la hauteur de l’enjeu. C’est ce que l’on a clairement senti dans les discours stériles du pouvoir en place. On comprend par les discours de la ministre et son premier ministre, que celle-ci est persuadé d’incarner un progressisme en lutte contre tous les conservatismes. S’agissant de ce progressisme à deux credo, alternativement ou cumulativement, le premier serait celui d’une modernisation progressive de l’enseignement  du fait des progrès de l’historiographie universitaire. Cette initiative théorique est trop peu adaptée au sens de la durée qu’il faut avoir en matière d’enseignement scolaire. Si le meilleur de la recherche académique doit imprégner indiscutablement en permanence la formation initiale et continue des enseignants, on ne voit pas en quoi il devrait avoir un impact permanent sur les grandes catégories chronologiques de l’histoire telles fixées dans la constitution Algérienne. Or actuellement les programmes du premier degré tels qu’élaborés depuis l’indépendance sont parfaitement chronologiques et progressifs, les remettre en question est trop risqué touchant éventuellement toute la mémoire et les valeurs du peuple Algériens.

LAÏCS, ISLAMISTES ET LA JUNTE DES GÉNÉRAUX

Afin de décrypter la langue arabe, il faut plongée dans les abysses de l’histoire. « STRICTO SENSU », ceux qui sont de lignage arabe viennent de la péninsule Arabique, c’est un système généalogique que l’on trouve dans la Bible et le Coran. Leur ancêtre commun est Ismaël, fils d’Ibrahim, père des arabes. Avec le prophète Mohammed, c’est la langue du Coran, elle connait avec la diffusion de cette religion un développement foudroyant jusqu’au Maghreb et aux confins de l’Indus. En Afrique du Nord, le peuple Algériens s’est identifié comme étant Arabe et musulman, ce qui a propulsé la révolution suite aux fondements des «  Oulémas » à leur tête IBN-Baddis. Après l’indépendance, deux courants s’affrontaient et continuent de s’opposaient mutuellement «  les laïcs et les islamistes », les premiers rejettent la langue arabe et l’islam, et les islamistes maintiennent cette légitimité, ce qui a plongé le pays dans une guerre civile sanglante durant la décennie noire, bien entendu avec l’appui de la junte des généraux. Les laïcs en Algérie, sont ciblés comme les ennemis de l’islam, critiquant la religion sans même la connaitre, sans faire le moindre effort de la comprendre. Comme cela vient d’énergumènes obscurs, ils véhiculent les propos de Voltaire et de Camus, le premier était connu pour son sarcasme, il s’en était pris au prophète Mohammed lorsqu’il avait appris que celui-ci avait fait l’ascension. (Est-ce sur une bourrique qu’il a fait l’ascension ?) Cette réflexion avait été faite par ignorance et abjuration, Camus rabaisse les prophètes en l’occurrence celui de l’islam, pire encore il s’en prend, toute honte bue, sans égard aux millions d’adeptes de l’islam, pour Camus le Coran n’est pas divin. La ministre de l’éducation et ses adeptes, jonchent encore ses idées innommables afin que le pays rentre dans une spirale infernale.

Comme c’était le cas pour l’ex ministre de l’éducation « Ben Bouzid »       recrutait par les services secrets algériens après des études dans les officines du KGB, il a collaborait à l’illettrisme des masses notamment les universitaires s’était le but de la junte. Ses lobbyistes définissent l’homme comme un animal qui pouvait être manipulé aussi facilement qu’un chien pouvait être dressé à saliver au son d’une cloche.

MOHAMMED CHERIF BOUHOUYA    

  

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