LETTRE
OUVERTE A MONSIEUR
LE
CHEF DU GOUVERNEMENT
ALGERIEN
Monsieur,
depuis presque une année, trois lettres avec accusés ont étaient
adressées aux ministres de l’intérieure de la justice dont j'ai
demandé non seulement l'ouverture d'une enquête sur (l' assassinat
de mon frère Bouhouia Salem à Souk Ahras, le 8 juin 2011) mais
aussi la condamnation de mon fils Bouhouia Mohamed Ilyes a une peine
ferme alors qu'il était mineur. Suite aux répressions de la police
(interpellation à domicile torture morale, et fausses révélations
par contraintes, falsifications des documents), il se trouve
actuellement dans un état dépressif grave. Les juges de Souk Ahras
se sont statuer sur les PV de la police après cassation, les
magistrats de Guelma ont doubler la peine sans aucune preuve
tangible.
Notre
avocat à fait cassation à la cour suprême sous le numéro (12/
O2248 délivré par la cour de Geulma). Je tiens a vous rappeler que
j'ai donner de main propre une lettre à un responsable de la direction
des affaires pénales le 19 décembre 2012 sous le numéro (6925,
il s'agit de monsieur LAJINE ZOUAOUI). Depuis aucune réponse,
ni du ministère de l’intérieure et le Générale de
la police, ni celle de la justice. Je vous rappelle que les deux plaignants
se sont vengés contre mon fils car durant la décennie noire
l'un deux était impliqué dans une affaire de terrorisme et
écroué, et comme étant journaliste j'ai publier cette affaire. L'autre
n'est qu'un fervent membre du FIS reconverti à HAMAS.
Monsieur,
je
vous demande qu'une enquête équitable soit faite, non seulement au
sien de la police du 7éme arrondissement de Souk ahras, mais surtout
la malveillance des magistrats qui considèrent l'Algérie comme
un pays carcérale. Monsieur, je souhaite que cette machiavélique
machination voit le jour, et que la justice tranche.
Je
vous rappelle, que j'ai été contraint de quitté mon pays, mes
trois enfants, vers le chemin de l'exil en les laissant dans une
misère extrême afin de préserver ma vie, suite aux menaces de
mort. Malgré les articles répétitifs concernant la situation
dramatique des journalistes algériens en exil ( dépression,
errance, mendicité, suicide, alcoolisme et drogue), ni les instances
Diplomatiques à l'étranger, ni le pouvoir, ont réagit au dilemme
que vit mes confrères, et moi-même. Monsieur, ont n'a pas spoliés
les richesse de l’État, ni impliqués dans des affaires de
détournement de milliards, ou de corruption, personnellement, j'ai
défendu des causes nobles que se soit en Algérie ou a l'étranger
depuis 24 ans. Analyses de la politique internationale, les
minorités, et les droits de l'homme, dont je suis président de
l'association des journalistes Algériens en lorraine, et directeur
du « Le libre lorraine » Monsieur, l'Algérie n'est
pas une chasse gardée, et elle appartient a tout les Algériens,
sachant qu'au fil du temps l’État Algérien
a perdu ses élites intellectuelles, laissant le chant libre aux
charognards, qui au nom de l'instabilité politique qui secoue le
pays, ils exploitent les lois à leurs profits, sans prendre
conscience des souffrances
et les états d’âmes des victimes.
Monsieur,
je vous demande de mettre à jour cette injustice, tout en procédant
à une enquête de votre part afin que les responsables soit
sanctionner selon la loi en vigueur. Je porte à votre connaissance
qu'à partir du mois de septembre, moi même et mes confrères
ferons une grève de la faim devant l'ambassade d’Algérie à
Paris, et je déposerai des plaintes dans les tribunaux concernés
en Europe contre la DGSN, le ministère de l’intérieure, et le
ministère de la justice.
BOUHOUIA
MOHAMED CHERIF
PRESIDENT
DE L'ASSOCIATION
DES
JOURNALISTES ALGERIENS EN LORRAINE
ET
DIRECTEUR DU (LE LIBRE LORRAINE)
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