vendredi 4 octobre 2013

LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE CHEF DU GOUVERNEMENT ALGERIEN

 
 
 
 
LETTRE OUVERTE A MONSIEUR
LE CHEF DU GOUVERNEMENT
ALGERIEN

Monsieur, depuis presque une année, trois lettres avec accusés ont étaient adressées aux ministres de l’intérieure de la justice dont j'ai demandé non seulement l'ouverture d'une enquête sur (l' assassinat de mon frère Bouhouia Salem à Souk Ahras, le 8 juin 2011) mais aussi la condamnation de mon fils Bouhouia Mohamed Ilyes a une peine ferme alors qu'il était mineur. Suite aux répressions de la police (interpellation à domicile torture morale, et fausses révélations par contraintes, falsifications des documents), il se trouve actuellement dans un état dépressif grave. Les juges de Souk Ahras se sont statuer sur les PV de la police après cassation, les magistrats de Guelma ont doubler la peine sans aucune preuve tangible.
Notre avocat à fait cassation à la cour suprême sous le numéro (12/ O2248 délivré par la cour de Geulma). Je tiens a vous rappeler que j'ai donner de main propre une lettre à un responsable de la direction des affaires pénales le 19 décembre 2012 sous le numéro (6925, il s'agit de monsieur LAJINE ZOUAOUI). Depuis aucune réponse, ni du ministère de l’intérieure et le Générale de la police, ni celle de la justice. Je vous rappelle que les deux plaignants se sont vengés contre mon fils car durant la décennie noire l'un deux était impliqué dans une affaire de terrorisme et écroué, et comme étant journaliste j'ai publier cette affaire. L'autre n'est qu'un fervent membre du FIS reconverti à HAMAS.
Monsieur,
je vous demande qu'une enquête équitable soit faite, non seulement au sien de la police du 7éme arrondissement de Souk ahras, mais surtout la malveillance des magistrats qui considèrent l'Algérie comme un pays carcérale. Monsieur, je souhaite que cette machiavélique machination voit le jour, et que la justice tranche.
Je vous rappelle, que j'ai été contraint de quitté mon pays, mes trois enfants, vers le chemin de l'exil en les laissant dans une misère extrême afin de préserver ma vie, suite aux menaces de mort. Malgré les articles répétitifs concernant la situation dramatique des journalistes algériens en exil ( dépression, errance, mendicité, suicide, alcoolisme et drogue), ni les instances Diplomatiques à l'étranger, ni le pouvoir, ont réagit au dilemme que vit mes confrères, et moi-même. Monsieur, ont n'a pas spoliés les richesse de l’État, ni impliqués dans des affaires de détournement de milliards, ou de corruption, personnellement, j'ai défendu des causes nobles que se soit en Algérie ou a l'étranger depuis 24 ans. Analyses de la politique internationale, les minorités, et les droits de l'homme, dont je suis président de l'association des journalistes Algériens en lorraine, et directeur du «  Le libre lorraine » Monsieur, l'Algérie n'est pas une chasse gardée, et elle appartient a tout les Algériens, sachant qu'au fil du temps l’État Algérien a perdu ses élites intellectuelles, laissant le chant libre aux charognards, qui au nom de l'instabilité politique qui secoue le pays, ils exploitent les lois à leurs profits, sans prendre conscience des souffrances et les états d’âmes des victimes.
Monsieur, je vous demande de mettre à jour cette injustice, tout en procédant à une enquête de votre part afin que les responsables soit sanctionner selon la loi en vigueur. Je porte à votre connaissance qu'à partir du mois de septembre, moi même et mes confrères ferons une grève de la faim devant l'ambassade d’Algérie à Paris, et je déposerai des plaintes dans les tribunaux concernés en Europe contre la DGSN, le ministère de l’intérieure, et le ministère de la justice. 
BOUHOUIA MOHAMED CHERIF
PRESIDENT DE L'ASSOCIATION
DES JOURNALISTES ALGERIENS EN LORRAINE
ET DIRECTEUR DU (LE LIBRE LORRAINE)
 
 
 

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