Le
gouvernement Nethnyahou, continue la colonisation en Cisjordanie, en
pariant sur la lassitude des Palestiniens et l'inaction
des
Occidentaux. Le sentiment d'injustice et de deux poids, deux mesures,
vivement ressenti dans le monde musulmans, nourrit le djihad radicale
à l'égard du monde occidental et Israël.
Theodor
Herzl publie l’État des Juifs 1897 qui réclame la création d'un
État pour le peuple juif ou il serait protégé des persécutions
antisémites. Lord Balfour ministre des affaires étrangères
britanniques, déclare la création d'un foyer national juif en
Palestine en
1917, tout en promettant aux Arabes appartenant à l'empire Ottoman,
l'indépendance. Entre 1919 et 1939, la Palestine était déjà
peuplée est confiée en mandat aux Britanniques, durant cette époque sombre
et tumultueuse, la colonie juive passe de 15 à 35% de la population
du fait de l'activisme du mouvement sioniste et surtout de
l'exode massif fuyant les persécutions en Europe centrale et en Allemagne.
Balfour s’appuyant sur sont principe utopique de donner (à
un peuple sans terre, une terre sans peuple) l'a fait sortir de la
petite porte de l'histoire des hommes. Après la seconde guerre
mondiale, l'ONU adopte un plan de partage de la Palestine attribuant
55%
des territoires aux juifs et 45% aux Arabes, ceci provoque une
forte
hostilité Arabes à l’imagination juive et lancèrent la première
guerre Israëlo-arabes. Vaincus Israël triomphe et fait passer son
territoires de 55% à 78% de la Palestine. Ce qui est rester, fût
partager entre l’Égypte et la Jordanie. Blessées dans l’âme
les Arabes refusent de reconnaître Israël qui 1956 participe avec
les Britanniques et la France à une expédition contre l’Égypte.
Une guerre dite de 6 jours va constituer une victoire totale en 1967,
qui occupe Jérusalem Est, la Cisjordanie et Gaza, tout en prenant le
contrôle totale de l’ancienne Palestine mandataire. Le Golan
Syrien(I) et le Sinaï Égyptien sont pris également. L'ONU accablé
par les pays arabes adopte la résolution 242 qui proclame
l'inadmissibilité de l'acquisition de territoires par la force et
demande un retrait israélien. En 1973 une nouvelle guerre éclate
entre Israël l’Égypte et la Syrie pour se terminer par le statu
quo, les Palestiniens prônent la lutte armée tout en refusant de
connaître Israël pour les israéliens il s'agit de faire naître
« le grand Israël au sens biblique du terme », (2) en
1978, Sadate propose la paix, les deux pays se reconnaissent
mutuellement, et le Sinaï conquis est restitué, les États Arabes
exclue l’Égypte de la ligue, mais Sadate s’alliera aux
États-Unis et obtient une aide économique. En 1982 les forces israéliennes interviennent au Liban afin de déloger les combattants
de l'OLP, seulement l'image d’Israël est ternie par les
effroyables massacres de civils qui ont eu lieu.
LE
PARADOXE DU L'HYDRE A PLUSIEURS TÊTES
La
guerre du Golfe fût un tournant décisif pour la stabilité
d’Israël,
les
alliés américains d’Israël ont mis en évidence que
l'utilisation
par
Saddam de l'occupation Israélienne des territoires occupés,
mobilise la haine de tous les pays arabes. La CIA et George Bush père
oblige
Israël de changer de stratégie. Des négociations direct entre les
antagonistes
conduisent à la signature des accords d’Oslo. L'OLP et
Israël
se reconnaissent, les accords d'Oslo, ratifiés à Washington en
1993
cible un retrait par étape d’Israël des territoires devant
conduire
à
la création d'un État Palestinien. En 2000 Bill Clinton essaye
d'aboutir à un accord de paix, lors d'un sommet à Camp David, se
dernier échoue et le cycle de la violence reprend. Conséquence Ariel
Sharon est voter massivement, d’où il s'oppose farouchement aux
accords d'Oslo, s’écarte de la ligue Rabin, et réduit a néant les
espoirs d'Oslo. L'évacuation unilatérale de la bande de Gaza, ou
plus de 7000 colons entourés de
1 400 000 Palestiniens, n’empêche pas
la colonisation en Cisjordanie. Ce blocage contraint les Palestiniens
à propulser le Hamas (proche des frères musulmans), au
devant de la scène politique, considéré comme une organisation terroriste,
les Occidentaux coupent les ponts avec Gaza. Sur le plan géographiques
les Palestiniens se divisent entre Gaza et la Cisjordanie, politiquement
entre le Hamas qui tient Gaza et le Fatah. Ce territoire surpeuplé
est soumis à un blocus insurmontable, qui répondent par des tirs de
roquettes sur les villes Israéliennes. Réaction immédiate
ceci
entraîne une nouvelle intervention militaire et des bombardements
sur Gaza qui font 1400 morts en 2008-2009 et conduit à l'élection
du gouvernement le plus à droite de l'histoire d’Israël en
février 2009. Le paradoxe dans ce conflit infernal est que la
communauté internationale, ainsi qu’une grande majorité des
citoyens Israéliens
et Palestiniens se prononcent pour cette paix confisquée. Sachant
que les contours en sont connus et définis dans des documents qui
stipulent (la création d'un État Palestinien à coté d’Israël,
droit d’Israël
a existé dans des frontières sures et reconnues, Jérusalem capitale
des deux États). Seulement la réalité est tout autre, vu les
enjeux géopolitiques et géostratégiques qui se dessinent au sein
des conflits Syriens, Irakiens, Kurdes,Turcs et Israël est condamner
a rester en alerte rouge.
Des
pressions Occidentales, notamment de l'administration Obama
conduisent
les Israéliens à accepter un État Palestinien. Ce qui mettra
en
place une paix définitive et un décollage économique de la région,
seulement,
les deux pays restent soumis aux différentes influences extérieures.
Et du fait de divisions tout dialogue est interrompu.
(1)
le Golan Syrien: l’histoire retienne une sombre
réalité
sur le Golan, hafed el Assad craignant
l'invasion
de son pays par l'armée Israélienne
tout
en s'accrochant au pouvoir, le Golan a était
vendu
pour la somme de 500 millions de dollars
l’intermédiaire
de cette transaction était
l’Ambassadeur
Syrien en poste à Madrid.
(2)
le grand Israël au sens biblique :
les ultras orthodoxes juifs considèrent que
le grand Israël engendre non seulement la
Palestine comme étant le berceau de leurs
prophètes, mais aussi toute la péninsule
Arabique, y compris la Mecque construites
par Ibrahim, les musulmans sunnites qui
croient à la descendance directe du messager
Mohamed d'Ibrahim, revendique trois lieux
sacrés (la Mecque, Médine et le dogme du rocher).
Le lieu le plus conflictuel au monde, se trouve
au sein de la vieille ville de Jérusalem, qui se limite à
un km² et peut à tout moment déclenché une troisième guerre mondiale.
les ultras orthodoxes juifs considèrent que
le grand Israël engendre non seulement la
Palestine comme étant le berceau de leurs
prophètes, mais aussi toute la péninsule
Arabique, y compris la Mecque construites
par Ibrahim, les musulmans sunnites qui
croient à la descendance directe du messager
Mohamed d'Ibrahim, revendique trois lieux
sacrés (la Mecque, Médine et le dogme du rocher).
Le lieu le plus conflictuel au monde, se trouve
au sein de la vieille ville de Jérusalem, qui se limite à
un km² et peut à tout moment déclenché une troisième guerre mondiale.
MOHAMED
CHERIF BOUHOUIA
VU LES PROPHÉTIES ANNONCÉES AU SEIN DES TROIS RELIGIONS MONOTHÉISTES, LE CONFLIT ENTRE ISRAËL ET LES ARABES ET UN CONFLIT DIVIN ET NON HUMAIN.
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