mardi 18 juin 2013

L'ONU FACE AU CONTROLE DES ARMES


       La questions de désarmement et de contrôle des armes restent
         les préoccupations centrales de l'Organisation des Nations Unis.
         Depuis ça création elle n'est jamais parvenue à adopter un
       instrument juridique globale sur le commerce des armes 
       conventionnelles.

     

     
    Les efforts de la communauté internationale en matière de contrôle des armes et de désarmement, depuis la guerre froide
    à nos jours se sont fixés d'une manière terrifiante sur les armes
    nucléaires, chimiques, biologiques, ou encore balistiques.
    Ces armes de destruction massives, représentent le plus grand
    danger pour l’espèce humaine. Tout au long de la guerre froide
    dominée par la logique des blocs, et l'équilibre des forces,
    plusieurs facteurs ont lancer le signal de détresse sur se marché
    non réglementé, notamment, les ventes d'avions, navires de combat, chars et véhicules blindés, armes légères, munitions et
    autres missiles. Si ce commerce peut avoir des effets positifs
    sur la sécurité lorsqu'il est autorisé d'une manière responsable
    et contrôlé, dans les conflits interne ses conséquences peuvent
    être dévastatrices, en particulier quand il s'agit de trafics illicites.
    Dans tout les conflits qu'a connu le monde, l'enjeu est de taille
    concernant la protection des droits humains, les entraves au
    développement socio-économiques, instabilité régionale.



       L'INPACT DES PUISSANCES

       Depuis plus de deux décennies , les préoccupations grandissante et
       les initiatives pour réglementer les transferts d'armes
       conventionnelles se sont intensifier sous l'impulsion d'organisations
       régionales et multilatérales, société civile, et États,
       ont assistés à un langage de sourd, sur le plant internationale,
       nationale, ou régionale. Les embargos sur les armes du conseil de
       sécurité des Nations-Unis représentent les seuls instruments
       juridiques qui peuvent stopper des transferts d'armes
       conventionnelles , ou une aide militaire vers des États, ou des
       acteurs non-étatique, seulement ils sont soumis au veto d'un des 
       cinq membres permanents. Si ont regarde le cas Syrien, la Russie et
       la Chine se sont opposer à toute ingérence, ce qui a provoquer des
       pertes humaines considérables, et des dégâts hallucinants. Pour
       l'Union européenne, qui a pu imposer des règles strictes à ses
       membres, portant pour la plupart sur le comportement des pays
       demandeur, cette dernière a laisser une marge d’interprétation aux
       États, ce qui a entraîner au fil du temps des décisions politiques
       divergentes entre les États membres. Si on se penche de près sur la
       stratégie prise en Afrique subsaharienne, l'adoption d'un
       ensembles de règles communes a eu pour cible de concertée à un
       enjeu commun, celui de la prolifération incontrôlée des armes
       légères, aux conséquences potentielles sur le continent.
       Paradoxalement cette initiative n'a fait qu'ouvrir une porte vers
       l'enfer pour les autres pays qui se trouvent confronter à des milliers
       des djihaddistes retranchés sur leurs frontières. Peu d’États
       Africains ont cependant effectué les transpositions nécessaires, par
       manque des moyens ou de volonté politique. Par ailleurs ont assiste
       à un trafic illicites de grande ampleur qui échappe à tout contrôle
       notamment en (Algérie-Libye-Niger-Mali-Mauritanie-Sénégal-
       Tchad-et même en Tunisie). A travers cette thématique, on constate
       un fossé entre les pratiques nationales des États et les discours
       stériles tenus au niveau supranational.
       Pour les Américains, la guerre numérique et la cyber sécurité
       favorise un contrôle imminent sur tout ce qui se trame à l'échelle
       internationale. La NSA et ses services ne datte pas d'hier, elle existe
       depuis 1947, ce qui n'a pas empêcher les attentats de 2001.
       L'opération « prisme » menée tambour battant par Obama,
       veille à ce qu'ont devienne tous des cibles, « la raison d’État
       prime ». Seulement si ont remonte dans l'histoire de ce pays, ont
       retient (l'affaire de DINNIELLE ELLSBERG) qui au nom de la
       démocratie a fait chuter NIXON et ses services notamment dans
       l'affaire de WATER-GATTE. En 1973, Ellsberg devient une
       icône, et Nixon fût ranger dans les archives de la CIA. En somme
       les Américains et autres puissances, l'espionnage numérique, n'est
       qu'un premier pas pour canaliser l'économie mondial. 

 
 

   PROLIFIRATION NUCLEAIRE

En 1970 le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires TNP
entre en vigueur, et repose sur trois fondements :
la non-prolifération, le désarmement et l’accès aux usages civils de
l'énergie nucléaire. Dans cet ordre nucléaire mondial, le TNP
avait pour objectif de limiter la prolifération nucléaire horizontale,
c'est à dire empêcher l'accès de nouveaux pays à l'arme nucléaire,
mais également la prolifération verticale, qui vise à freiner
l'accroissement et le perfectionnement des arsenaux des puissances
déjà dotés de la bombe. Selon les statistiques 8 États sur 192 États
membres de l'ONU disposent de l'arme nucléaire. Parmi eux, il existe
5 puissances dites officielles ( Russie, États-Unis, Royaume-Uni, France, et la Chine), ses derniers ont réaliser des essais nucléaire
avant 1967, et les 3 États du seuil ( Pakistan, Inde, Israël) ne se considèrent pas en infraction avec le TNP puisque ils ont refuser de signer. Certains pays ont convenu de la tenue d'une conférence internationale sur l'établissement d'un Moyen-Orient sans armes
nucléaires . Un tel accord pour la stabilité de l'avenir de la région
aura indéniablement pour conséquence de placer l’arsenal stratégique
d’Israël au cœur des polémiques. Sachant qu’Israël est le seul État de la région à disposer de l'arme atomique, sans toutefois le reconnaître
officiellement afin de maintenir l’ambiguïté vis-a-vis de ses ennemis
potentiels. On trouve ensuite les deux États proliférants (Iran et la
Corée du Nord ). 


Malgré la dissémination d'armes nucléaires sur la surface du globe,
il existe 6 zones dénucléarisées dans le monde, issues de la signature
de traités régionaux prévoyant la non-fabrication, le non-transit et
le non-stokage, mais en réalité le commerce des armes n'a jamais
connu la crise. C'est l’ensemble de l'ordre nucléaire mondial qui se
trouve actuellement en débat, à commencer par la question du désarmement nucléaire.

MOHAMMED CHERIF BOUHOUIA






1 commentaire:

  1. LE LOBBY DES PUISSANCES INTENSIFIE LE CONTROLE
    SUR LE CAPITAL HUMAIN, NOTAMMENT EN MATIERE DE LIBERTE D'EXPRESSION. JOURNALISTES A VOS PLUMES
    "ONT EST TOUS FICHES".

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