La questions de désarmement et de contrôle des armes restent
les préoccupations centrales de l'Organisation des Nations Unis.
Depuis ça création elle n'est jamais parvenue à adopter un
instrument juridique globale sur le commerce des armes
conventionnelles.
Les
efforts de la communauté internationale en matière de contrôle
des armes et de désarmement, depuis la guerre froide
à
nos jours se sont fixés d'une manière terrifiante sur les armes
nucléaires,
chimiques, biologiques, ou encore balistiques.
Ces
armes de destruction massives, représentent le plus grand
danger
pour l’espèce humaine. Tout au long de la guerre froide
dominée
par la logique des blocs, et l'équilibre des forces,
plusieurs
facteurs ont lancer le signal de détresse sur se marché
non
réglementé, notamment, les ventes d'avions, navires de combat,
chars et véhicules blindés, armes légères, munitions et
autres
missiles. Si ce commerce peut avoir des effets positifs
sur
la sécurité lorsqu'il est autorisé d'une manière responsable
et
contrôlé, dans les conflits interne ses conséquences peuvent
être
dévastatrices, en particulier quand il s'agit de trafics illicites.
Dans
tout les conflits qu'a connu le monde, l'enjeu est de taille
concernant
la protection des droits humains, les entraves au
développement
socio-économiques, instabilité régionale.
L'INPACT
DES PUISSANCES
Depuis
plus de deux décennies , les préoccupations grandissante et
les
initiatives pour réglementer les transferts d'armesconventionnelles se sont intensifier sous l'impulsion d'organisations
régionales et multilatérales, société civile, et États,
ont assistés à un langage de sourd, sur le plant internationale,
nationale, ou régionale. Les embargos sur les armes du conseil de
sécurité des Nations-Unis représentent les seuls instruments
juridiques qui peuvent stopper des transferts d'armes
conventionnelles , ou une aide militaire vers des États, ou des
acteurs non-étatique, seulement ils sont soumis au veto d'un des
cinq membres permanents. Si ont regarde le cas Syrien, la Russie et
la Chine se sont opposer à toute ingérence, ce qui a provoquer des
pertes humaines considérables, et des dégâts hallucinants. Pour
l'Union européenne, qui a pu imposer des règles strictes à ses
membres, portant pour la plupart sur le comportement des pays
demandeur, cette dernière a laisser une marge d’interprétation aux
États, ce qui a entraîner au fil du temps des décisions politiques
divergentes entre les États membres. Si on se penche de près sur la
stratégie prise en Afrique subsaharienne, l'adoption d'un
ensembles de règles communes a eu pour cible de concertée à un
enjeu commun, celui de la prolifération incontrôlée des armes
légères, aux conséquences potentielles sur le continent.
Paradoxalement cette initiative n'a fait qu'ouvrir une porte vers
l'enfer pour les autres pays qui se trouvent confronter à des milliers
des djihaddistes retranchés sur leurs frontières. Peu d’États
Africains ont cependant effectué les transpositions nécessaires, par
manque des moyens ou de volonté politique. Par ailleurs ont assiste
à un trafic illicites de grande ampleur qui échappe à tout contrôle
notamment en (Algérie-Libye-Niger-Mali-Mauritanie-Sénégal-
Tchad-et même en Tunisie). A travers cette thématique, on constate
un fossé entre les pratiques nationales des États et les discours
stériles tenus au niveau supranational.
Pour les Américains, la guerre numérique et la cyber sécurité
favorise un contrôle imminent sur tout ce qui se trame à l'échelle
internationale. La NSA et ses services ne datte pas d'hier, elle existe
depuis 1947, ce qui n'a pas empêcher les attentats de 2001.
L'opération « prisme » menée tambour battant par Obama,
veille à ce qu'ont devienne tous des cibles, « la raison d’État
prime ». Seulement si ont remonte dans l'histoire de ce pays, ont
retient (l'affaire de DINNIELLE ELLSBERG) qui au nom de la
démocratie a fait chuter NIXON et ses services notamment dans
l'affaire de WATER-GATTE. En 1973, Ellsberg devient une
icône, et Nixon fût ranger dans les archives de la CIA. En somme
les Américains et autres puissances, l'espionnage numérique, n'est
qu'un premier pas pour canaliser l'économie mondial.
PROLIFIRATION NUCLEAIRE
En
1970 le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires TNP
entre
en vigueur, et repose sur trois fondements :la non-prolifération, le désarmement et l’accès aux usages civils de
l'énergie nucléaire. Dans cet ordre nucléaire mondial, le TNP
avait pour objectif de limiter la prolifération nucléaire horizontale,
c'est à dire empêcher l'accès de nouveaux pays à l'arme nucléaire,
mais également la prolifération verticale, qui vise à freiner
l'accroissement et le perfectionnement des arsenaux des puissances
déjà dotés de la bombe. Selon les statistiques 8 États sur 192 États
membres de l'ONU disposent de l'arme nucléaire. Parmi eux, il existe
5 puissances dites officielles ( Russie, États-Unis, Royaume-Uni, France, et la Chine), ses derniers ont réaliser des essais nucléaire
avant 1967, et les 3 États du seuil ( Pakistan, Inde, Israël) ne se considèrent pas en infraction avec le TNP puisque ils ont refuser de signer. Certains pays ont convenu de la tenue d'une conférence internationale sur l'établissement d'un Moyen-Orient sans armes
nucléaires . Un tel accord pour la stabilité de l'avenir de la région
aura indéniablement pour conséquence de placer l’arsenal stratégique
d’Israël au cœur des polémiques. Sachant qu’Israël est le seul État de la région à disposer de l'arme atomique, sans toutefois le reconnaître
officiellement afin de maintenir l’ambiguïté vis-a-vis de ses ennemis
potentiels. On trouve ensuite les deux États proliférants (Iran et la
Corée du Nord ).
il existe 6 zones dénucléarisées dans le monde, issues de la signature
de traités régionaux prévoyant la non-fabrication, le non-transit et
le non-stokage, mais en réalité le commerce des armes n'a jamais
connu la crise. C'est l’ensemble de l'ordre nucléaire mondial qui se
trouve actuellement en débat, à commencer par la question du désarmement nucléaire.
MOHAMMED
CHERIF BOUHOUIA
LE LOBBY DES PUISSANCES INTENSIFIE LE CONTROLE
RépondreSupprimerSUR LE CAPITAL HUMAIN, NOTAMMENT EN MATIERE DE LIBERTE D'EXPRESSION. JOURNALISTES A VOS PLUMES
"ONT EST TOUS FICHES".