Citée du futur se dessinent progressivement sur le sang des Martyres et des opposants. Elle doit ainsi s’étendre du 26, 500
Kilomètres, entre la mer Rouge et la Jordanie, le tout pour un Budget de 500 milliards de dollars.
A Neom, le monarque cherche semble- t’il l’éternité dans en ce bas monde. Çà pourrait se traduire par l’ouverture de cliniques ou des scientifiques travailleraient à la modification du génome humain ;
Au fil du temps, la cité spirituelle s’est peu à peu convertie en une réseau de capsules supersoniques doit y assurer la rapidité et la propreté des transports. Le monarque MBS, s’inspire directement d’une ville sortie directement du film « les Gardiens de la Galaxie », en clair l’autocrate, a trouvé ses instincts ancestraux Qauraychites qui se sont acharnées contre le messager de l’Islam, en assassinant ces disciples et l’expulsant vers Médine afin de mieux servir l’idolâtrie. 14 siècles après, l’histoire se répète mais sous d’autres visions et divers horizons. Après l’assassinat horrible de Djamel Khashoggi en Turquie, l’image de MBS a terni considérablement, notamment sur le scène internationale. et dans le monde arabo-musulman. Le monarque, voulait passer pour le modernisateur d’une société longtemps sclérosée, tout en jetant en prison des intellectuels, des religieux , les membres de sa famille royale et des militants des droits de l’homme, sans oublier les tortures, les assassinats ciblés et des conditions inhumaines de détentions. Depuis son intronisation, MBS, donne l’image d’un personnage autocrate controversé, voir un dictateur sanguinaire et a long terme s’il y aurait un coup d’Etat, ou le monarque devait mourir, l’implosion du royaume serait fort probable, d’où un conflit interne entre chiites et sunnites pour le pouvoir aurait des conséquences pire que celui de la Libye. Si MBS a mis en place plusieurs réformes, afin de préparer son plan vision 2030 qui tend à diversifier l’économie du pays qui accuse un énorme déficit budgétaire. Le plan vison 2030 peine à avancer, les déficits financiers s’écroulent les un après les autres, des actionnaires étrangers se retrouvent à plat et les milieux saoudiens n’hésitent pas à dénoncer les détournements répétitifs des milliers de milliards de dollars au profit de MBS. Sans oublier la salle guerre au Yémen déclenchée par se même jeune prince en mars 2015. Trois ans et demi, ont compte déjà plus de 10 000 morts, des milliers d’handicapés et une population décimée par la famine et des épidémies mortelles comme le covid-19, le choléra, et autres fléaux pestilentiels exterminant plus de sept millions de Yéménites. La plus grande tragédie au monde en ce début du XXI siècle.
contre la sécheresse, on pourra provoquer également la pluie, grâce à l’ensemencement des nuages et les enfants, bénéficieront du meilleur système scolaire de la planète grâce à des cours en
hologrammes. Une lune géante artificielle qui s’allumera toutes les nuits, une plage qui brille dans le noir et des robots prennent la forme de dinosaures dans les parcs d’attraction de la ville. Enfin,
veillera à la sécurité de tous ses citoyens extraterrestres grâce à des caméras, des drones et des dispositifs de reconnaissance faciale. Ont sera dans une ville automatisée ou ont pourra tout voir, ou
un ordinateur pourra signaler des crimes ou des incidents et tous les citoyens de cette nouvel le planète pourront être surveillés. Des palais hors normes pour la famille régnante, des aéroports
équipés de Jet-set et des milliers de soldats ainsi que des gardes du corps hautement entraînés seront mises à la disposition des monarques saoudiens et leurs hôtes de prestige. Les futurs touristes, seront dans une ville folle équipée d’internet à très haut débit gratuit, avec alcool autorisé et voile ou « hidjab » non obligatoire. Neom, veut s’imposer comme une capitale de l’intelligence artificielle et du divertissement tout en imposant par la force, le dogme d’une nouvelle religion, celle des « Madkhalitess la nouvelle doctrine des croyants sans frontière » .Un pont gigantesque le reliera ainsi à la rive égyptienne alors qu’un
religieuse. Depuis 1986, le roi saoudien porte le titre officiel de
serviteur des lieux saints, comme s’était le cas sous les
Mamelouks (1250-1517) et les Ottomans (1872-1916). L’enjeu
Politique a toujours été primordial. Lorsqu’Abbulaziz ibn-Saoud
(1880-1953), fondateur et premier souverain d’Arabie saoudite
(1932-1953), prit le Hedjaz entre (1924-1925) au roi Hussein (1916- 1926), le contrôle de la Mecque lui assurait certes une grande Manne financière, mais surtout une importante légitimité dans des territoires de la péninsule Arabique déjà conquis. Néanmoins, si ont remonte dans les abysses de l’histoire, ont observe que la conquête tumultueuse des El-Saouds, restent coincés dans une terre fondée sur le sable et le sang. En 1744, la tribu de « Najd », proclame son Etat à « Dariya » avec les autres tribus afin de conquérir les lieux Saints ; En 1811, A partir d’Egypte, le Sultan Mohammed Ali Bacha, foudroyé par la rage, extermine tous les tribus alliés et décapite tous les Émirs proclamés des El-Saoud.
1843, ces derniers reprennent encore la péninsule en otage y
compris la Mecque et Médine. Mais cette fois-ci, s’est l’empire
Ottoman avec le soutient des El-Rachid qui mettent un terme à
l’invasion des Saouds (1871-1891). (Laurence d’Arabie et autres) et instrumentalisés par les services Britanniques éclataient l’empire Ottoman, qui verra son déclin ultime en 1924. Un peu plus tard, grâce à la France et au Royaume-Unis, les El-Saouds, prendrons le trône en 1932 tout en imposant une véritable dictature aux autres tribus de la péninsule. Au fil des années, les forces coloniales européennes, notamment Français, Britannique et Hollandaise, mettaient un point d’honneur à bien organiser le transport de leurs sujets, montrant ainsi qu’elles assuraient leur sécurité. Toutefois, le Hajj fut rarement l’occasion de rencontre entre opposants. Au contraire, il est un moment de diffusion d’un Islam contrôlé par le régime saoudien. On rappellera que la Mecque accueille le siège de la ligue islamique mondiale et que Médine offre des bourses universitaires. Dans cet enjeu à la fois trouble et politique et la
confiscation du religieux, naît la contestation d’autres Etats
Musulmans assurant un magistère religieux important. C’est le cas de l’Iran qui, dés la révolution islamique, conteste à l’Arabie-
Saoudite son rôle de l’unique gestionnaire. En 1987, des
affrontements entre pèlerins Iraniens et forces de l’ordre ont causé
la mort de quelques 4173 victimes (chiffres officielles) de la
bousculade du 24 septembre 2015, plus de 460 étaient des
Iraniens. L’occasion pour Téhéran de dénoncer la mauvaise
gestion de Riyad et d’appeler à l’internationalisation du
pèlerinage. D’autres pays comme la Turquie, se proposent pour
organiser le Hajj, chose exclue par les monarques saoudiens.
serviteur des lieux saints, comme s’était le cas sous les
Mamelouks (1250-1517) et les Ottomans (1872-1916). L’enjeu
Politique a toujours été primordial. Lorsqu’Abbulaziz ibn-Saoud
(1880-1953), fondateur et premier souverain d’Arabie saoudite
(1932-1953), prit le Hedjaz entre (1924-1925) au roi Hussein (1916- 1926), le contrôle de la Mecque lui assurait certes une grande Manne financière, mais surtout une importante légitimité dans des territoires de la péninsule Arabique déjà conquis. Néanmoins, si ont remonte dans les abysses de l’histoire, ont observe que la conquête tumultueuse des El-Saouds, restent coincés dans une terre fondée sur le sable et le sang. En 1744, la tribu de « Najd », proclame son Etat à « Dariya » avec les autres tribus afin de conquérir les lieux Saints ; En 1811, A partir d’Egypte, le Sultan Mohammed Ali Bacha, foudroyé par la rage, extermine tous les tribus alliés et décapite tous les Émirs proclamés des El-Saoud.
1843, ces derniers reprennent encore la péninsule en otage y
compris la Mecque et Médine. Mais cette fois-ci, s’est l’empire
Ottoman avec le soutient des El-Rachid qui mettent un terme à
l’invasion des Saouds (1871-1891). (Laurence d’Arabie et autres) et instrumentalisés par les services Britanniques éclataient l’empire Ottoman, qui verra son déclin ultime en 1924. Un peu plus tard, grâce à la France et au Royaume-Unis, les El-Saouds, prendrons le trône en 1932 tout en imposant une véritable dictature aux autres tribus de la péninsule. Au fil des années, les forces coloniales européennes, notamment Français, Britannique et Hollandaise, mettaient un point d’honneur à bien organiser le transport de leurs sujets, montrant ainsi qu’elles assuraient leur sécurité. Toutefois, le Hajj fut rarement l’occasion de rencontre entre opposants. Au contraire, il est un moment de diffusion d’un Islam contrôlé par le régime saoudien. On rappellera que la Mecque accueille le siège de la ligue islamique mondiale et que Médine offre des bourses universitaires. Dans cet enjeu à la fois trouble et politique et la
confiscation du religieux, naît la contestation d’autres Etats
Musulmans assurant un magistère religieux important. C’est le cas de l’Iran qui, dés la révolution islamique, conteste à l’Arabie-
Saoudite son rôle de l’unique gestionnaire. En 1987, des
affrontements entre pèlerins Iraniens et forces de l’ordre ont causé
la mort de quelques 4173 victimes (chiffres officielles) de la
bousculade du 24 septembre 2015, plus de 460 étaient des
Iraniens. L’occasion pour Téhéran de dénoncer la mauvaise
gestion de Riyad et d’appeler à l’internationalisation du
pèlerinage. D’autres pays comme la Turquie, se proposent pour
organiser le Hajj, chose exclue par les monarques saoudiens.
LÉGITIMISTE POLITIQUE ET SPÉCULATION IMMOBILIÈRE
Au fil du temps, la cité spirituelle s’est peu à peu convertie en une réseau de capsules supersoniques doit y assurer la rapidité et la propreté des transports. Le monarque MBS, s’inspire directement d’une ville sortie directement du film « les Gardiens de la Galaxie », en clair l’autocrate, a trouvé ses instincts ancestraux Qauraychites qui se sont acharnées contre le messager de l’Islam, en assassinant ces disciples et l’expulsant vers Médine afin de mieux servir l’idolâtrie. 14 siècles après, l’histoire se répète mais sous d’autres visions et divers horizons. Après l’assassinat horrible de Djamel Khashoggi en Turquie, l’image de MBS a terni considérablement, notamment sur le scène internationale. et dans le monde arabo-musulman. Le monarque, voulait passer pour le modernisateur d’une société longtemps sclérosée, tout en jetant en prison des intellectuels, des religieux , les membres de sa famille royale et des militants des droits de l’homme, sans oublier les tortures, les assassinats ciblés et des conditions inhumaines de détentions. Depuis son intronisation, MBS, donne l’image d’un personnage autocrate controversé, voir un dictateur sanguinaire et a long terme s’il y aurait un coup d’Etat, ou le monarque devait mourir, l’implosion du royaume serait fort probable, d’où un conflit interne entre chiites et sunnites pour le pouvoir aurait des conséquences pire que celui de la Libye. Si MBS a mis en place plusieurs réformes, afin de préparer son plan vision 2030 qui tend à diversifier l’économie du pays qui accuse un énorme déficit budgétaire. Le plan vison 2030 peine à avancer, les déficits financiers s’écroulent les un après les autres, des actionnaires étrangers se retrouvent à plat et les milieux saoudiens n’hésitent pas à dénoncer les détournements répétitifs des milliers de milliards de dollars au profit de MBS. Sans oublier la salle guerre au Yémen déclenchée par se même jeune prince en mars 2015. Trois ans et demi, ont compte déjà plus de 10 000 morts, des milliers d’handicapés et une population décimée par la famine et des épidémies mortelles comme le covid-19, le choléra, et autres fléaux pestilentiels exterminant plus de sept millions de Yéménites. La plus grande tragédie au monde en ce début du XXI siècle.
LIEUX SAINTS : MANNE FINANCIÈRE ET NOUVELLE VISION D’UNE NOUVELLE MONDIALISATION
Pour le régime, la gestion du Hajj est une légitimité politique et
sorte de Las Vegas islamique, avec des hôtels de luxe et des
centres commerciaux, et gratte-ciel entourant la grande mosquée,
dont le Makkah Clock Royal Tower, haute de 601 mètres. Le régime monarchique selon les Mollahs Iraniens et des opposants
fortement engagés en Europe et au Etats-Unis, se sont acharnés
contre les monarques saoudiens sur la destruction des
monuments historiques, comme la maison natal de Khadija et du
prophète, transformée en toilette publique, ou encore la maison
de Abou-Baker, dont ils ont construit le grand hôtel Hilton. Ses
pratiques scandaleuses, ont provoquées la colère des monarques
saoudiens, notamment lorsque Djamel Khashoggi s’est opposé
farouchement à MBS notamment sur ce sujet et la mondialisation
des lieux Saints, ce qui a conduit MBS à l’assassiner d’une
manière impitoyable. La Mecque est devenue un acteur de la
mondialisation et la ville s’est transformée en un cœur d’un
marché immobilier capitaliste, dans lequel la spéculation a fait
monter les prix jusqu’à atteindre des records mondiaux (100 000
euros le mètre carré). Le Hajj devient donc un grand luxe,
alimentant un fossé entre riche et pauvre et dont il est devenue
presque inaccessible pour la majorité des musulmans. Les
revenus générés par an sont estimés à 16, 6 milliards d’euros pour
les monarques qui gouvernent sans partage. Mais la question qui
s’oppose avec acuité, et que dés l’apparition de l’Islam, le prophète
a imposé le Hadjj afin qu’il soit synonyme de voyage spirituel,
alors que les monarques saoudiens, l’en transformer à leur tour
aux limites de la mondialisation des lieux Sains ? Comment
qualifier le statut international de l’Arabie Saoudite ?
puissance émergente, ré-émergente, grande puissance, puissance
régionale ? Ni l’un ni l’autre. Elle reste une monarchie soumise
entièrement aux ambitions des Etats-Unis et soutenue également
par d’autres pays qui partagent les mêmes ambitions
hégémoniques contre toute émancipation, une démocratie
montante, et surtout, le salafisme rampant des trois premiers
siècles de l’Islam au sein du monde Arabo-musulman. En ce sens,
la monarchie se retrouve sur plieurs fronts, la Libye, le Yémen,
l’Irak, l’Afghanistan, le Tchad, la Mauritanie, le Mali, la Syrie, la
Tchétchénie et si elle s’en sortira vainqueur et triomphante, l’œil apocalyptique des al-Saouds s’orientera inévitablement vers la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, le Soudan, et le Nigéria, bien entendu avec la bénédiction des Emiratis. Traversée par de nombreuse contradictions et de multiples crises , la monarchie développe une politique d’ingérence à travers tout les pays musulmans conflits, groupuscules islamistes radicaux endoctriné par les services saoudiens et Emiratis, armement, minorité, guerre par procuration et fabrication des guerres), afin d’évincé le salafisme des frères musulmans et la démocratie des peuples.
Sapant toutes les démocraties montantes afin d’assurer la survie
du despotisme monarchique, MBS, sentant sa faillite finale, il
peut s’attendre à un coup d’Etat ou un assassinat bien orchestré
par sa propre famille régnante. Entouré également par des régimes
Chiites chapeauté par l’Iran, l’ennemi juré de toujours, et délaissé
par les américains, ont peut s’attendre à un basculement sombre
de toute l a région et la fin d’un règne absolu dans toute les monarchies du Golfe.
MOHAMMED CHERIF BOUHOUYA
dont le Makkah Clock Royal Tower, haute de 601 mètres. Le régime monarchique selon les Mollahs Iraniens et des opposants
fortement engagés en Europe et au Etats-Unis, se sont acharnés
contre les monarques saoudiens sur la destruction des
monuments historiques, comme la maison natal de Khadija et du
prophète, transformée en toilette publique, ou encore la maison
de Abou-Baker, dont ils ont construit le grand hôtel Hilton. Ses
pratiques scandaleuses, ont provoquées la colère des monarques
saoudiens, notamment lorsque Djamel Khashoggi s’est opposé
farouchement à MBS notamment sur ce sujet et la mondialisation
des lieux Saints, ce qui a conduit MBS à l’assassiner d’une
manière impitoyable. La Mecque est devenue un acteur de la
mondialisation et la ville s’est transformée en un cœur d’un
marché immobilier capitaliste, dans lequel la spéculation a fait
monter les prix jusqu’à atteindre des records mondiaux (100 000
euros le mètre carré). Le Hajj devient donc un grand luxe,
alimentant un fossé entre riche et pauvre et dont il est devenue
presque inaccessible pour la majorité des musulmans. Les
revenus générés par an sont estimés à 16, 6 milliards d’euros pour
les monarques qui gouvernent sans partage. Mais la question qui
s’oppose avec acuité, et que dés l’apparition de l’Islam, le prophète
a imposé le Hadjj afin qu’il soit synonyme de voyage spirituel,
alors que les monarques saoudiens, l’en transformer à leur tour
aux limites de la mondialisation des lieux Sains ? Comment
qualifier le statut international de l’Arabie Saoudite ?
puissance émergente, ré-émergente, grande puissance, puissance
régionale ? Ni l’un ni l’autre. Elle reste une monarchie soumise
entièrement aux ambitions des Etats-Unis et soutenue également
par d’autres pays qui partagent les mêmes ambitions
hégémoniques contre toute émancipation, une démocratie
montante, et surtout, le salafisme rampant des trois premiers
siècles de l’Islam au sein du monde Arabo-musulman. En ce sens,
la monarchie se retrouve sur plieurs fronts, la Libye, le Yémen,
l’Irak, l’Afghanistan, le Tchad, la Mauritanie, le Mali, la Syrie, la
Tchétchénie et si elle s’en sortira vainqueur et triomphante, l’œil apocalyptique des al-Saouds s’orientera inévitablement vers la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, le Soudan, et le Nigéria, bien entendu avec la bénédiction des Emiratis. Traversée par de nombreuse contradictions et de multiples crises , la monarchie développe une politique d’ingérence à travers tout les pays musulmans conflits, groupuscules islamistes radicaux endoctriné par les services saoudiens et Emiratis, armement, minorité, guerre par procuration et fabrication des guerres), afin d’évincé le salafisme des frères musulmans et la démocratie des peuples.
Sapant toutes les démocraties montantes afin d’assurer la survie
du despotisme monarchique, MBS, sentant sa faillite finale, il
peut s’attendre à un coup d’Etat ou un assassinat bien orchestré
par sa propre famille régnante. Entouré également par des régimes
Chiites chapeauté par l’Iran, l’ennemi juré de toujours, et délaissé
par les américains, ont peut s’attendre à un basculement sombre
de toute l a région et la fin d’un règne absolu dans toute les monarchies du Golfe.
MOHAMMED CHERIF BOUHOUYA
Je m'excuse pour l'analyse, sachant qu'un virus s'est introduit dans mon ordinateur. Bien cordialement à tous les lecteurs.
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