DROITS DE L'HOMME/ LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Monsieur, les pogroms au fil de l'histoire, ne se sont pas identifiés uniquement dans le cadre génocidaires, mais parfois raciales, xénophobes et islamophobes extrêmes. A Nancy, le département et le tribunal pour l'enfance exercent une négritude d'un temps nouveau. Après avoir placés trois enfants de ( 5 ans, 22 mois et une fille de 5 mois, sans aucun motif légal, tout en interdisant la mère de donner le sein a sa fille dés la naissance; et l'empêchant aussi de rester avec elle ainsi que le père, les parents vous lancent un appel de détresse avant qu'ils passent au suicide. Placée injustement par une "juge" a la fois raciste et xénophobes, avec un mépris sans égale, plus, le poids du joug de la présidente du département qui, abuse de son mandat à la tète du département, fermant non seulement toutes les portes aux étrangers, mais également elle les classent ostentatoirement parmi des " castes inférieures" dans une République de droits. Sans n'négliger pour autant les services liées à l'enfance, qui ont falsifiés tous les documents afin d'inciter la juge de les placer. Monsieur le Président, Malgré la proposition préalable de récupérer les enfants, et les regrouper sous le même toit, et malgré aussi les lettres adressés au Préfet, le procureur, la présidente du département, et le président du tribunal, les propositions a l'amiable sont restées des lettres mortes. Monsieur le président, les pratiques coercitives infligés à cette petite famille ne peuvent triompher que lorsque vous prenez le flambeau de la justice en mains et frappé avec force et sanctions. Sachant que les prédateurs de la démocratie sont toujours vivaces parmi les diasporas Maghrébines et autres. Monsieur le président, je reste très confiant entant que protecteur fortement engagé des citoyens les plus vulnérables et je croit à votre engagement. Aujourd'hui, cette famille vit sous une chappe de plomb répressive et subissent les affres d'une grappe qui n'obéissent qu'a leurs propres instincts sarcastiques. Une situation qui génère le suicide et au pire l'auto-immolations Monsieur le président, je vous demande humblement d'intervenir au plus vite possible afin d'éviter le pire et mettre fin a cette justice qui refuse même de respecter la dignité humaine.
Enfin, mon fils et sa femme vivent une phase dépressive désastreuse, néanmoins, si jamais ils passent à l'acte suicidaire, la juge qui a placée les enfants, la présidente du département, ainsi que les quartes fonctionnaires qui ont falsifiés les documents seront entièrement responsables devant la justice pénale.
MOHAMMED CHERIF BOUHOUYA
NB/ Lettre destinée a la présidente du département, mais en retour elle menace de poursuites judicaires.
Lettre destinée au Préfet pour information.
Lettres destinées au président du tribunal , la juge pour enfants, et le procureur : sans réponse.
Lettre ouverte a monsieur le ministre de la justice.
lettre ouverte au secrétaire d'Etat pour l'enfance et le famille. Sans réponse.
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