L’ex KGB a lancé une large offensive
dans le monde et surtout en Europe. Depuis le retour de Poutine au Kremlin, l’effectif
des agents est en hausse constantel' homme fort de Russie a trouvé ses instincts
d’agent de l’ombre, afin d’affirmé ça suprématie de tyran.
En réalité Poutine a renforcé son
pouvoir par des ex agent au Kremlin. La majorité de leaders russes ont déjà fait
leurs carrières dans l’espionnage en occident et autres pays. Le président de
la Douma, était en poste à Bruxelles, Serguei Ivanov, le chef de l’administration
présidentielle, était dans plusieurs pays sans pour autant cité quelques hommes
puissant qu’ont l’ignorent. Une véritable offensive, du jamais vu depuis la
guerre froide. Diplomate, faux diplomate, pseudo-journalistes, cherchent à tout
prix à s’infiltré au sien des pouvoir et les postes stratégiques. Tous les intéressent,
les intentions de OTAN, l’ONU, l’UE, les prouesses technologiques, depuis la
crise de l’Ukraine ils sont passés à une vigilance maximum. Les services russes veulent imposés leurs
rôles notamment dans le renseignement militaire, sachant qu’ils sont moins efficaces
que les services Chinois et Américains. Selon plusieurs sources leur ordre de
bataille inquiète les services Français, « les révélations du nouvel
observateur »montrent qu’ils disposent d’une cinquantaine d’officiers de
renseignement sous couverture diplomatique à l’ambassade et dans les consulats.
Les autres sont rattachés au FSB, l’équivalent de la DGSI Française (direction centrale
du renseignement intérieur).Les capitales européennes est en alerte depuis l’affaire d’espionnage de
trois mille documents secret de l' OTAN, considérée comme la plus grave dans l’histoire
de l’alliance atlantique depuis la fin de la guerre froide. Une autre affaire rocambolesque
concerne les activités de l' OTAN en Afghanistan et en Libye, cette guerre de l’ombre
nous révèle que la pointe de l’iceberg de la paranoïa de nostalgiques des services russes et l’époque
de la guerre froide. Selon toujours les mêmes sources, à Paris toutes les
cibles potentielles ont été alertées, les craintes du contre-espionnage français
en matières des tensions géopolitiques, géo économiques et géostratégiques, qui secoue les différents pays du monde peut servir un avantage capital à l’un des camps.
La DGSI, s’inquiète des menaces en cours venant du FSB et se mobilisent contre
l’infiltration de ce dernier au sien de l’assemblée nationale, le sénat, et
surtout la défense et les affaires étrangères. Le contre-espionnage allemand (BFV)
est également en alerte, il soupçonne qu’un tiers des diplomates russes à
Berlin sont des espions et font au moins cent tentatives d’approche de cibles potentielles.
Du côté britannique le(M15) selon son responsable, il affirme qu’une
cinquantaines d’officiers opèrent sous couverture diplomatique. Dans une
interview du patron des services Belges(VSSE), il déclare qu’une centaine d’espions
de toute nationalité et surtout les Russes s’activent au siégé de la commission
européenne et de l' OTAN.
Dans ce monde de l’ombre tous les services
du monde collaborent étroitement avec leurs homologues pour plusieurs raisons.
Pour la France il existe sur son territoire 17000 Tchétchènes, ce qui peut
aboutir au renseignement sur le terrorisme. Depuis l’annexion de la Crimée, en
déduit que c’est le chaos diplomatique, alors qu’entre services il est
primordial de maintenir un canal de communication. En clair, observé, et analysé
vaut mieux de faire exciter une fourmilière.
MOHAMED CHERIF BOUHOUIA
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